Lukas A. Lonily ~ Libre

Lukas est ce qu'on peut appeler un "bad boy" ou bien un "play boy". Il aime jouer avec les sentiments des jeunes filles qui tombent toute sois son charme grâce à son physique de rêve. Avant qu'il déménage en Australie pour le travail de sa mère, il y a 2 ans - elle a sa propre marque de haute couture et elle est venue s'inspirer au grand air avec les kangourous - il était le garçon le plus apprécié et le plus populaire de son lycée. Son côté "bad boy" ressort souvent. Il est beau, le sais et en joue énormément. Lukas est également un adepte des sensations fortes grâce à son père qui est pilote de F1. Depuis, tout petit, il passe sa vie entre l'eau - le surf, qui est devenu sa passion depuis qu'il est sur son île -, l'air - Il aime les sauts en parachutes et toute autre choses dans ce genre là - et aussi la terre lorsqu'il circule sur les circuits de F1 avec son père.

Lukas est un garçon assez gentil si on lui parle seul sans sa bande de potes qu'il veut toujours impressionner. Il peut être calme et attentionné comme méchant et arrogant. Tout dépend avec qui il se trouve. Il est quelqu'un de très sérieux lorsqu'il est en cours mais qui passe son temps à s'amuser et à faire la fête en dehors du lycée et le week-end.

Lukas est quelqu'un qui aime jouer. J'entends par là qu'il aime s'amuser des sentiments des autres si on peut appeler ça comme ça, car c'est en fait très différent. En effet, il aime que l'on pose le regard sur lui et n'hésite pas à dévoiler ses plus grands atouts - la détermination et la beauté - pour parvenir à ses fins. Pour lui, rien de plus simple que de séduire les jeunes filles. En parfait "bad boy", il n'hésite pas à changer de cible dès qu'il en a la possibilité. C'est son jeu, c'est son domaine.

Avec la richesse de ses parents, Lukas fait tout ce qu'il veut. Par exemple, il part souvent en vacances à New-York où il a passé toute son enfance, pour revoir ses amis. En effet, il est très fidèle en amitié. Il ne laisse jamais tomber ses amis dans n'importes quelles situations. Il espère de ce fait, ne jamais être laissé tomber lui non plus. C'est une autre des facettes de Lukas. Grâce à son physique et à sa popularité, on pourrait penser qu'il est très sûre de lui. Et bien, détrompez-vous, il est tout le contraire.

II } My Cinderella story scene.

Premières minutes au Château :

J'avais passé ma journée à la plage, comme chaque samedi depuis deux ans. Ma planche de surf d'un côté, mes amis de l'autre. Les deux jeunes filles les plus populaires du lycée, Alicia et Anna, nous avaient rejoint en milieu d'après-midi pour nous admirer sur nos planches. A chaque fois que je retournais sur la plage, elles se jetaient sur moi pour me masser ou me mettre de la crène solaire.
Pour rien au monde je ne me serai plein. J'aimais être le centre d'intérêt des filles, j'adorais leur faire tourner la tête, et même pour tout l'or de l'univers, jamais je n'aurais arrêté ce jeu.
Alicia était ce que l'on pouvait appeler ma petite amie officielle, même si, chacun de notre côté, nous avions des aventures. Elle était toujours celle vers qui je me tournais, et elle, elle adorait ça.

J'avais donc passé ma journée avec mes potes sur la plage, ma petite amie officielle et sa meilleure amie, qui venait une à deux fois par semaine - car elle était en "manque" d'affection -. Dans l'ensemble, il n'y avait eu aucun problème, sauf peut-être quelques figures ratées alors que j'avais une compétition le lendemain.

Vers 18h00, tout le monde se dispersa pour rentrer chez eux. Moi, je décida de rester encore un peu pour continuer à m'entrainer, dans le but de finir premier à la compétition du lendemain. Après un dernier câlin à Alicia, je pris ma planche de surf et repartis à la mer.
Le vent se déployait, idéal pour les vagues. Je m'allongea donc sur la planche et commença à avancer sur l'eau. Au moment où la vague arriva, donc au moment de ma lever, je ferma les yeux pour me concentrer sur la position de mes pieds. Je souffla doucement et attendis, aux aguets, le moment propice pour me lever. J'attendais que le remoud se fasse de plus en plus fort pour annoncer la vague imminente.

Cependant, je ne perçus aucun remoud. J'entendais juste le vent. J'ouvris un œil, puis le second. Il n'y avait plus aucune vague. C'était pourtant impossible, une immense vague de quatre mètres n'avait été qu'à quelques secondes de me percuter ! J'aperçus alors une bande d'herbe à une dizaine de mètres de moi. C'était incompréhensible étant donné qu'avant de fermer les yeux, l'océan était infini et que je ne pouvais percevoir son arrêt.

Je me dirigea lentement vers cette bande verte, j'aperçus alors ma serviette de bain aussi jaune que le soleil. Elle était posée sur l'herbe et au-dessus je vis une lettre. Je pris cette dernière et la lus avec attention.

Après la dernière ligne, mon regard se fit vide. C'était donc ça la raison de ma présence ici ? Un don, juste un don ? Et si je refusais d'obéir à ce maître du jeu ? Et si, moi, je ne voulais pas ce don ? Si je voulais plutôt retrouver mon île ? Je m'assis sur l'herbe, la tête entre les genoux. J'espérais, au fond, que lorsque je la relèverai, je serais sur la plage. Malheureusement ce ne fut pas le cas, rien n'avait changé, j'étais toujours dans l'herbe en facce du lac. J'allais donc devoir obéir.