Courtney H Tales - Life is a long story.. To be Continued..

Dernier cours, et ce serait les vacances ! Mon coeur battait la chamade, je n'en pouvais plus d'attendre, les yeux rivés sur l'horloge de la classe, commentant ponctuellement le monologue, j'en était sûre très intèressant, de mon voisin de classe tandis que la prof tout à son cours s'extasiait de nous expliquer le rapport de ses Polynômes et fonctions. L'école, je n'avais jamais aimé ca ; à vrai dire, au plus loin que je me rapelle, j'y était toujours allée en traînant les pieds. Bloquer par coeur des centaines de feuilles de matières a première vue - et très certainement - inutiles pour la vie active, des profs rasoirs, et des règles stupides ; vous avouerez que c'est peu folichon.. En plus, cette année, j'avais perdut presque toutes les parties de combat naval que mon voisin et moi nous disputions couremment pour tromper l'ennui. Mon voisin Mathieu.. Je dois dire que j'avais passé une chouette année en sa compagnie, peut être un poil exentrique, mais pas un poil méchant ; peut être dailleurs, que l'année prochaine..

" Mademoiselle Tales !! Peut être pourriez vous me donner la graphique qui correspond a cette fonction ? Pour le moins que vous daignez sortir de votre rêverie !! "

Madame Evrard ; elle ne m'avait jamais aimée, et enfait, je la détestait aussi. Petite et ronde, ses cheveux raides et gras ressemblaient plus à des spaghettis trop cuits, de grosses lunettes rondes pareilles à des roues de bicyclette chevauchaient son nez et son visage entier tranporait sous l'effort seul de tenir sa masse debout.

" Hmm "

Quelques instants, j'avoue être restée septique, mais après tout, je lui devait bien ca : la franchise. Pour le dernier jour, la dernière heure, j'allait lui faire l'honneur de lui dire ce que je pensait d'elle, depuis le temps que je désirais ce moment, et que je l'imaginais.. Un grand sourire prit place sur mes lèvres, je pense ne jamais avoir prit autant de plaisir à l'école.

" Voyez vous madame ; je n'ai pas vraiment envie de sortir de ma rêverie. Non, enfait, je préferais même me couper un bras que de continuer vous écouter entrain de vous égosiller devant des calculs qui n'en sont pas. Si vous le permettez donc, je m'en retourne a mes pensées pour le moin interessantes. "

J'aurais peut être pas dût. En tous cas, j'ai finit dehors avec mon sac et un mot pour mes parents pas moin d'une demi seconde après ma remarque désinvolte. Et sans savoir pourquoi, j'ai éclaté de rire avant de descendre les escaliers quatres a quatres. En arrivant au pied, j'ai rapidement jeté la note destinée à mes parents dans une poubelle remplie a raz bors, de toute facon, c'était le dernier jour, et s'ils ne la voyaient pas, ils ne seraient même pas au courant. Et puis mes parents, avant qu'ils ne me portent ne serait-ce qu'une attention minimale.. J'aurais pût danser sur ma tête qu'ils auraient garder la même désinvolture vis à vis de moi. Enfait, ils ne me désiraient pas je pense, une soirée trop arrosée, une compagnie agréable,.. Et me voilà ! Malheureusement trop lêche pour m'abandonner, ils m'avaient fait vivre un enfer. J'pouvais sortir, me saouler, me shooter, ils ne disaient rien, j'aurais même put crever qu'ils ne s'en seraient pas rendut compte.. Alors une note de la prof de Math sur mon comportement soi-disant trop arrogant, vous imaginez bien que je ne m'inquiétait que trop peu.. !

C'est donc en trottinant après une fin d'année sur les chapeaux de roues que je rentrait " chez moi " pour enfin pouvoir m'abandonner à ma réelle passion deux mois durant : l'écriture. Je chantonnait un air actuel, qui depuis ce matin me trottait dans la tête jusqu'à ce qu'une vieille maison sur le bord de la route ne se profile devant moi. C'était étonnant, je ne l'avais jamais vue là.. Contrôlant un soudain accès de panique, j'esquissais un pas, suivit d'un deuxième, un peu plus assuré. Je finis par entrer dans l'étrange deumeure, une ambiance confinée règnait, il ne faisait pas bon de s'attarder ici. Une inquiétude sourde me serrait le coeur, mais je ne voulait l'écouter. Il fallut évidement, que je touche une clé pendue au mur.
A ce moment, tout devint flou et tournait autour de moi follement vite, je ne pût réfréné un cri suraigu, paniquée. Tout changeait, aux murs en tapisserie raffinée succèdaient des briques grises de béton armé. Tout ce que j'ai pût apercevoir avant de sombrer dans l'inconcsience, c'était une pièce vide et froide, effrayante.

Quand enfin j'ouvrit les yeux, mon bras me faisait affreusement mal. Tant bien que mal, je l'extirpais d'entre moi et le sol. Tout déformé et tordut, il était cassé. La douleur lancinante était issuportable, je respirait pas saccades et levais les yeux au ciel pour me rendre compte que j'était dans un cachot. La peur que je ressentit a ce moment là, je ne saurais même pas la décrire, trop angoissée pour même hurlée, j'était prise de terreur, au paroxysme de l'angoisse. Il me fallut longtemps, très longtemps pour reprendre mes esprits, et quand enfin j'y arrivais, c'était pour avoir un choc encore plus grand. Une lettre reposait devant l'entrebaillure d'une porte en chêne massif, son contenut était pour le moin intriguant. J'eu un dernier souvresaut avant de m'effondrer au sol pleurant d'angoisse. Mais où avais-je donc bien pût atterrir ?

Fini (:
Désolée, c'est pas terrible, mais 22 : 31, c'est pas une heure pour RP'er xD