Hell Aurora Spencer || En cour

Hell Aurora, son prénom la représente tellement bien. Aurora, est un prénom plutôt doux à la base, et cette jeune fille est douce charmante ne demande qu'a aimer et connaitre enfin le sens de la vie, mais tout ca n'est qu'apparence que la jeune fille désigne elle même comme futile. Se trouvant parfois futile d'ailleurs, elle avoue parfois se servir des apparences pour apprendre à mieux connaitre les autres. Mais en réalité, Hell lui va tellement mieux, l'enfer. Tellement subjectif, on aime ou pas, mais encore faut-il y croire. Prénom plus ou moins courant, mais comment quelqu'un oserait il appelait son enfant comme l'enfer? Mais c'est ce qu'elle est. Elle peut se montrer douce tel un chat, mais vous griffer dans votre dos des qu'elle en à l'occasion. Et d'ailleurs, c'est une fille assez " fausse ". Elle n'apprécie pas les personnes ni la compagnie de celle ci, elle ne traine avec eux que par intérêt. Aussi silencieuse qu'une carpe, elle donne l'impression qu'on peut tout lui confier, n'importe quel secret. Mais, elle s'empresse d'allez raconter à tout le monde ce que vous aviez put lui dire quelques instants auparavant. Hell Aurora à un cœur de pierre, elle ne ressent que trés rarement quelque chose pour les personnes avec qui elle parle. Ni remord si ce qu'elle dit blesse, ni amour ou compassion pour la personne en face d'elle à deux doigts de pleurer parce que untel à la lâcher ou on ne sait quoi. Elle joue très bien son jeu, cependant.

Mais au fond d'elle même Hell est bien plus compliquée que cela. Sous ses airs impassible, ses yeux qui n'exprime aucun sentiment particulier, son cœur qui donne l'impression d'être de pierre, son expression qui laisse de marbre n'importe qui, toutes les fois ou se la joue garce. En vérité, elle est blessée et lassés de la même bataille. Se battre pour se faire aimer, se battre pour se faire amis. Toujours et encore devoir parler de ses problèmes. Mais chaque problèmes à sa solution, et malgré le fait qu'on lui prête le caractère d'une ch*euse pas intéressant égoïste, une petite peste, elle à mal.

Hell est le genre de fille qui savoure chaque instant de solitude comme un gourmand savourerait sa glace au chocolat. Toujours en train d'écrire ou de dessiner c'est une passion qu'elle à depuis une bonne dizaine d'année. Elle est d'ailleurs plutôt douée, mais elle ne veut pas être jugé pour ses dessins toujours bizarres, ni pour ses écrits toujours morbide. Tout ce qu'a connu Hell est la souffrance du monde et c'est pourquoi, elle ne dévoile que très rarement son jeu, et à des personnes spéciales à ses yeux...

Hell Aurora aime ce qui est différent, ce qui peut se démarquer des autres et parfois choquer. Elle aime en quelque sorte que les autres ne veillent pas aller la voir et la laisser tranquille. Noir est sa couleur de prédilection, et ne supporte que difficilement d’autres couleurs, hormis le gris peut-être. Elle aime les choses simples cependant, et ne s’habille jamais avec extravagance. Un débardeur noir, un slim ou une jupe noir, ses docs Martens ou des converses noires et c’est aussi simple que ca. En hiver, elle rajoute un gilet ou un pull. Pas de talons, pas de couleurs flashs, pas de couleurs du tout d’ailleurs. Elle n’aime pas vraiment le genre de couleur tape à l’œil, mais se différencie grâce aux vêtements qu’elle porte et surtout à son air mystérieux, son regard qui signifie tu ne sais rien de moi en fait… En revanche, un détail important, contrairement aux filles qui généralement ne porte que du noir, elle ne se masque pas. Elle Porte des jupes assez courtes, des débardeurs moulant ou décolleté. Elle n’a pas de se montrer en quelque sorte, et elle à raison ! Hell est d’une taille moyenne, environ 1m66 en fait. Mince à l’extrême, sa mère lui dit parfois qu’elle est à la limite de la maigreur, mais Hell se sent mieux ainsi. Son visage est fin, et peut tromper les autres, puisqu’il est presque angélique. Avec sa peau quasiment blanche ses yeux verts émeraudes sa bouche fine et rouge. Ses cheveux sont longs, et lui arrivant au milieu de dos, dansant dans celui-ci à chaque pas qu’elle peut faire. Hell est une fille assez gracieuse, et sa démarche contraste avec ses docs Martens, pourtant cela rajoute un peu de mystère à son personnage.
Hell à quelques bijoux dont elle ne se sépare jamais. Un bracelet porte bonheur en quelque sorte offert par son ancienne meilleure amie. Elle l’a gardé parce qu’elle n’a jamais oublié comment c’était « avant »… Des boucles d’oreilles en forme de lame de rasoir. Elle les a faits il y à 2 ans, et cela fait environ 1 an qu’elle ne s’en sépare plus, mais personne ne sais si elles ont une valeur sentimentale puisqu’elle n’a rien voulut dire à propos de celle-ci...

J'étais dans ma chambre, je regardai l'horizon, me sentait soudainement seule. Ca ne m’arrivait jamais, mais j'avais l'impression que quelque chose n'allais pas aujourd'hui. Je me sentais un peu patraque. Ma mère m'appela, et je descendis les escaliers à toute vitesse. Ceux ci étaient plutôt dangereux puisque il était droit et les marches devaient faire au moins deux mètres de haut. Pour descendre ce n'étais pas facile, et il fallait être un mini géant pour monter les marches sans se soucier de la hauteur de celle ci. Parfois je me demandais ce que ma mère avait dans la tète. On disait de moi que j'étais une marginale, mais ma mère me battait à plate couture sur ce terrain la. Elle était photographe, et arrivais à s'en sortir plus ou moins bien. Quand à moi, j'aimais écrire et dessiner. J'avais essayé de prendre des photos une fois, mais c'étais catastrophique. Le cadrage était mauvais, et quasiment toutes les photos étaient floues. J'avais abandonné après cet échec malheureux. Je n'avais pas d'amis, ou je n'en avais plus. Avant, quand mon père était encore en vie, notre situation familiale était bien meilleure. Mais il était partis avec une pouf de 25 ans il y à 1o ans de cela et je le voyais le moins possible. Lorsqu'il était partit, bye bye les sois disant amies de maman, et à l'école publique, je n'avais pas été acceptée par les autres élèves. Je m'étais résolu à cette fatalité, me découvrant une âme de solitaire et d'artiste ainsi. Ma mère m'attendait en bas de l'escalier, un sourire scotché sur son visage. En lui demandant ce qu'il y avait, elle me rappela qu'elle avait un rendez vous et qu'il y avait des restes de pates dans le frigo. Je ris, en la voyant heureuse, et l'embrassa sur la joue. J'étais proche de ma mère, plus une copine qu'une mère d'ailleurs, et si elle était heureuse je l'étais aussi. Je la regardais partir, et remonter les marches, plus prudemment cette fois ci. Mais le sort s'acharna contre moi, et malgré mes efforts pour me retenir à cette satanée rampe, je dégringolai jusqu'en bas. Me claquant la tète par la même occasion, ma vision se flouta peu à peu. En appuyant ma main sur mon crane, je ressentais un étrange picotement, et me doutais que je saignais certainement, pourtant, je n’eus pas le temps de le vérifier, et plongé dans un état semi comateux.

Lorsque j'ouvris les yeux, je me réveillais dans un lit, fort peu agréable. Il était dur, les draps ne sentaient pas la même odeur que chez elle, et l'éclairage était plus que précaire. J'appelais faiblement ma mère, mais personne ne me répondis. Je me redressais, et en poussant un cri de stupéfaction, m'aperçut que je ne connaissais pas cet endroit. La pièce était éclairer par une faible lumière, et il n'y faisait pas chaud. Je me levai doucement, affolée, mais curieuse de savoir quel pouvais bien être cet endroit. Revenant vers le lit ou je m'étais réveiller et éviter l'autre qui était positionner juste à côté j'y découvris une lettre. En fronçant les sourcils, je l'ouvris. Je la parcourais rapidement, elle n’était pas longue. J’émis un rire nerveux en la relisant une deuxième fois, et me pinça pour m'assurer que tout cela n'étais pas réel. M'asseyant sur le lit, je fermais les yeux, mais rien à faire. J'entendais des voix qui s’élevaient, peut-être étais-ce un rêve? Même si moi même je n'arrivais pas à m'en convaincre, je m’approchai de la lumière. Pas de doute, il y avait bien des personnes qui parlait, de l'autre côté du mur. J'avais peur, mais j'essayais de retenir mes larmes. Pourtant, je fondis malgré en larmes. Celles ci roulèrent sur mes joues, et je m'essuyais avec le revers de mon sweat. Je m'assis sous la lumière, attendant patiemment que quelqu'un vienne. Parce que, forcement quelqu'un allait venir, on n’allait pas la laisser mourir de faim. Elle ressentait tellement de chose en ce moment même, qu'elle ne savait pas qu'elle émotion dominée le plus. La haine, la peur ou encore la curiosité la ronger. Soudain, elle se mit à parler, répétant sans cesse " il y à quelqu'un" comme une litanie. Elle savait à présent, que la peur dominer largement le reste…